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donald trump

Textes et photos provenant de wikipédia

Donald Trump, né le 14 juin 1946 à New York, est un homme d'affairesanimateur de télévision et homme d'État américainprésident des États-Unis depuis le 20 janvier 2017.

Donald Trump travaille dans l'entreprise familiale à partir de 1968, pendant ses études à l’école de commerce de Wharton de l'université de Pennsylvanie. Il en prend la tête en 1971 de l'entreprise de son père Elizabeth Trump & Son et la renomme ensuite The Trump Organization. En 1995, il fonde la Trump Entertainment Resorts. Donald Trump bâtit son empire et sa notoriété sur des bâtiments prestigieux qui portent généralement son nom. Une partie de ses immeubles les plus connus — dont plusieurs gratte-ciel, parmi lesquels la Trump Tower — se trouvent dans l'État de New York, mais il possède également des casinos comme le Trump Taj Mahal d'Atlantic City, des résidences de luxe, des terrains de golf, et réalise de nombreux investissements dans les domaines les plus divers (sports, médias, concours de beauté).

Célébrité médiatique aux États-Unis dès les années 1980, impliqué dans le secteur du divertissement télévisuel, il est notamment, de 2004 à 2015, l'animateur de l'émission de téléréalité The Apprentice

Engagé en politique à partir des années 1980, il devient de façon inattendue le candidat du Parti républicain à l'issue des primaires de 2016. Candidat singulier dans l'histoire politique américaine, Trump mène une campagne atypique, avec une équipe relativement réduite et un usage intensif des réseaux sociaux, en particulier de Twitter. Se présentant comme un adversaire de l'establishment et du politiquement correct, il se distingue également par un ton très polémique et par un discours populisteréactionnairenationalisteisolationnisteprotectionniste et climato-sceptique, ainsi que par des propositions radicales visant à réduire l'immigration et de nombreuses contre-vérités.

Sa victoire à l'élection présidentielle de novembre 2016 face à la candidate démocrate Hillary Clinton déjoue la plupart des pronostics. À sa prise de fonction, il est le président américain le plus âgé (70 ans) et le plus riche jamais élu. Il est également le premier candidat qui accède à la présidence sans jamais avoir exercé de fonction politique ou militaire.

Le début de sa présidence est marqué par une relation conflictuelle entre Trump ainsi que plusieurs membres de son cabinet et la presse, accusée de mentir sans vergogne. Selon Dan Rather, la façon dont l'administration Trump se comporte vis-à-vis de la presse serait sans précédent dans l'histoire des États-Unis.

Dès le lendemain de son investiture, Trump en personne, relayé ensuite par son porte-parole Sean Spicer, contestent les rapports de la presse faisant état d'une foule bien moins nombreuse que celle présente à Washington lors de la première prestation de serment de Barack Obama. Selon Spicer, qui accuse la presse d'avoir manipulé les images, il s'agit de « la plus grande foule qui ait jamais assisté à une investiture, point final ».

               Investiture de Trump 2017                                  Investiture Obama 2008

 Interrogée au sujet de la déclaration de Spicer, Kellyanne Conway, conseillère du président Trump, évoque des « faits alternatifs ».

Le 21 janvier 2017, alors qu’il est en déplacement au siège de la CIA Trump déclare « comme vous le savez, je suis actuellement en guerre contre les médias. Ils font partie des êtres humains les plus malhonnêtes de la planète ».

Vivement critiqué pour son décret interdisant l’entrée aux États-Unis de ressortissants de certains pays à majorité musulmane, Donald Trump explique lors d’une allocution à la base militaire de MacDill, centre de la lutte contre le groupe État islamique, que l’EI est engagé dans une campagne de génocide à travers le monde. Il ajoute « Vous avez vu ce qui s'est passé à Paris et à Nice. Cela se passe à travers toute l'Europe. On est arrivé à un point où (les attaques) ne sont même plus rapportées par les médias ». Interpellé sur ce point par la presse à bord de l’avion présidentiel qui revient de Floride, Sean Spicer promet de fournir une liste en expliquant qu’il y avait « beaucoup d’exemples » d’attentats qui n’auraient pas bénéficié de la « couverture qui aurait été appropriée ».

Quelques heures plus tard, il fournit à la presse une liste de 78 attentats qui comprend entre autres des attentats aussi médiatisés que les attentats de Paris en novembre 2015, ceux de Bruxelles en mars 2016 ou de San Bernardino en décembre 2015, ce qui rend perplexes les journalistes. Après un examen rapide de la liste le site les décodeurs note que les vingt premiers attentats qu'elle mentionne ont tous fait l’objet d’une couverture médiatique. Seules sept des 78 attaques mentionnées dans la liste ont fait l'objet de moins de cinquante articles de presse et aucun décès n'a été enregistré en raison de ces sept attaques.

Une conférence de presse, organisée le 16 février 2017, au cours de laquelle Donald Trump annonce notamment la candidature d'Alexander Acosta au poste de secrétaire au travail et revient sur le limogeage de Michael T. Flynn, va tourner à la mise en accusation pendant près de 80 minutes de la presse, accusée de diffuser de fausses nouvelles, et de faire preuve de « haine » à son égard. Selon certains commentaires émanant de politiciens républicains, Trump ne serait toujours pas passé d'un mode de communication propre à une campagne électorale à un mode de communication plus en rapport avec des fonctions gouvernementales.

Le lendemain, il accuse le New York TimesNBC NewsABCCBS et CNN d'être les « ennemis du peuple américain ». Prenant prétexte du commentaire louangeur de l'éditorialiste conservateur Rush Limbaugh au sujet de sa conférence de presse, il accuse à nouveau les médias qui n'en ont pas fait autant d'être malhonnêtes. Le New York Times relève que certaines des affirmations lancées par Trump pendant la campagne électorale et après son élection font écho aux théories du complot dont est coutumier Alex Jones.

Steve Bannon

S'exprimant en compagnie de Reince Priebus lors de la Conservative Political Action Conference, Stephen Bannon explique que la couverture de Trump par les médias va, selon lui, empirer. Le lendemain, Donald Trump accuse lors de la même conférence les médias d'inventer des sources lorsqu'ils n'en ont pas, en faisant clairement références aux articles du Washington Post ayant provoqué la démission de Michael T. Flynn. Reprenant une suggestion de Priebus, il explique que les médias « ne devraient pas citer des sources sans mentionner leurs noms ». Le même jour, Sean Spicer déclenche une nouvelle polémique en interdisant aux représentants de plusieurs grands médias, dont CNN, le New York TimesPolitico, le Los Angeles Times et la BBC, l'accès à son point presse quotidien. En revanche, des médias de moindre importance, mais conservateurs et supportant Donald Trump tels Breitbart News et One America News Network, y sont conviés. Le Washington Post note qu'en décembre 2016, Spicer expliquait publiquement le fait pour un gouvernement de laisser un accès libre à la presse est « ce qui fait d'une démocratie une démocratie et la distingue d'une dictature».

Dès son installation au pouvoir, il signe une série de décrets présidentiels qui provoquent de fortes polémiques aussi bien au niveau national qu'international.

Donald Trump, opposé à l'avortement, rétablit la politique de Mexico  en signant un décret qui interdit le financement par des fonds fédéraux d'ONG internationales qui pratiquent l'avortement et militent pour le rendre légal.

Donald Trump avait fait de l'abrogation rapide de l'Obamacare et de son remplacement par un système de santé « nettement meilleur » au profit tous les Américains l'argument majeur de sa campagne électorale. Le remplacement ou l'abrogation de l'Obamacare était également un objectif poursuivi par la majorité républicaine depuis son adoption en mars 2010. Trump laisse au président de la Chambre des représentants la responsabilité de rédiger un projet de loi destiné à remplacer le Patient Protection and Affordable Care Act. Alors que le projet de loi rencontre l'opposition unanime des représentants démocrates au Congrès, le texte ne parvient pas à faire l'unanimité des représentants républicains, les plus conservateurs souhaitant une abrogation pure et simple de l'Obamacare, alors que d'autres s'inquiètent des conséquences prévoyant qu'en l'état, le projet pourrait faire perdre leur assurance santé à 24 millions d'Américains. Malgré des pressions parfois maladroites de Donald Trump, les représentants républicains sont dans l'incapacité de former une majorité susceptible de voter l'approbation du projet, de sorte que Trump décide le 24 mars 2017 de le retirer.

Alors que Donald Trump annonce vouloir se concentrer désormais sur la réforme du régime fiscal aux États-Unis, certains commentateurs se demandent si l'échec subi par Trump ne l'obligera pas à revoir également ses ambitions à la baisse. En effet, en vue de mettre en œuvre une réforme en profondeur de la réglementation fiscale tout en préservant les marges budgétaires, Trump et le camp conservateur escomptaient récupérer mille milliards de dollars à la suite de l'abrogation ou d'une réforme drastique de l'Obamacare.

 

Ce fiasco les prive donc de ces moyens financiers, de sorte qu'ils pourraient être contraints de renoncer également à la grande réforme fiscale annoncée, pour se limiter à des réductions d'impôts ciblées. Pour le représentant républicain Chris Collins, cet échec risque de signifier que les travaux d'infrastructures annoncés par Trump pourraient ne pas se faire non plus. Il craint que l'ensemble de ces revers conduisent le parti républicain à perdre sa majorité à la Chambre et au Sénat lors des élections de mi-mandat

Au cours de sa campagne électorale, Donald Trump s'est clairement affiché en tant que climato sceptique, expliquant notamment que des excès de réglementations environnementales constituaient un frein au développement économique et au développement de l'emploi aux États-Unis. Ainsi dès le 7 décembre 2016, il annonce son intention de nommer Scott Pruitt, un adversaire déclaré des réglementations environnementales, à la tête de l'Environmental Protection Agency. Dès son entrée en fonction l'administration Trump impose un gel des subventions et des contrats à l'Agence de protection de l’environnement américaine (EPA).

Le premier projet de budget déposé par l'administration Trump prévoit une réduction drastique des ressources financières allouées à l'agence. Le 24 mars 2017, Trump autorise la reprise des travaux de l'oléoduc Keystone qui avaient été suspendus par Barack Obama en raison des controverses suscitées par le tracé du pipeline, qui met potentiellement en péril les nappes phréatiques d'une réserve indienne. Le 28 mars 2017, il signe un décret abrogeant le Clean Power Plan (en) adopté par Obama. Selon Trump, cette décision doit permettre aux centrales thermique de pouvoir consommer plus de charbon sans devoir se soucier de la pollution au CO2, et donc relancer l'emploi dans le secteur des mines de charbon. Les spécialistes s'accordent toutefois sur le fait que l'impact sur l'emploi dans ce secteur sera limité, et n'entravera que temporairement le déclin continu de ce secteur d'activité.

La journaliste Alleen Brown note que Trump a constamment engagé des climato sceptiques, des employés de compagnies du secteur de l'énergie et des militants de la déréglementation en matière environnementale à des postes clé

Le 27 janvier 2017, Trump suspend le programme fédéral d’admission et de réinstallation de réfugiés de pays en guerre pour une durée de 4 mois. Il bloque, pour 3 mois, l'arrivée des ressortissants de sept pays à majorité musulmane par le décret Protéger la Nation de l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis : IrakIranLibyeSomalieSoudanSyrie et YémenDonald Trump stoppe l'arrivée de tous réfugiés syriens jusqu'à nouvel ordre.

Le décret semble avoir été rédigé dans la précipitation et sans consultation préalable du ministère de la justice. Ainsi Kjell Magne Bondevik, qui fut à deux reprises premier ministre de la Norvège se voit retenu et interrogé pendant une heure à l'aéroport international de Washington-Dulles parce que son passeport diplomatique montre qu'il s'est rendu en Iran en 2014. Alors que plusieurs dizaines de personnes sont détenues depuis leur descente de l'avion, les juges fédérales Ann DonnellyLeonie Brinkema et Allison Burroughs ordonnent la libération des individus détenteurs de visas en règle et déclarent que ne peuvent être envoyées dans un pays tiers sans leur accord des détenteurs d'un statut de réfugié, d'une carte de résident permanent aux États-Unis ou d'un visa de visite et des citoyens naturalisés américains, suspendant de facto l'ordre exécutif de Trump. Il doit aussi faire face à des manifestations aux aéroports de New York, Chicago, San Francisco ou Dallas, à des plaintes de l'ACLU et à l'opposition de 16 procureurs généraux d'États américains. Il s'expose à des critiques de personnalités politiques, majoritairement démocrates, à l'image de Charles SchumerBernie SandersElizabeth Warren ou Ben Cardin, qui déclare que « le décret cruel du président Trump sur les réfugiés sape nos valeurs fondamentales et nos traditions, menace notre sécurité nationale et démontre une méconnaissance totale de notre strict processus de vérification, le plus minutieux du monde », mais également républicaines, telles que Rob PortmanLindsey GrahamArnold SchwarzeneggerBob CorkerJohn McCain et Dick Cheney, pourtant partisan d'une ligne dure sur le terrorisme, qui affirme que le décret est « non américain ». À l'étranger, de nombreux pays condamnent l'action alors que l'Iran et l'Irak déclarent qu'ils vont appliquer la réciprocité envers les citoyens américains après un vote de leur Parlement.

Le 30 janvier, Trump renvoie pour « trahison » la ministre de la Justice par intérim Sally Yates, qui avait contesté la légalité du décret anti-immigration. Il nomme Dana Boente comme remplaçante intérimaire.

Le 3 février 2017, un juge fédéral de Seattle émet une injonction temporaire suspendant l'application du décret sur tout le territoire américain le temps qu'une plainte déposée dans l'état de Washington soit examinée. Trump estime l'injonction du « soi-disant » juge James Robart « ridicule » mais le ministère de la Sécurité intérieure annonce avoir arrêté de mettre en œuvre le décret et revenir aux procédures antérieures. Le Département d'État annonce pour sa part avoir annulé la révocation provisoire des visas. Le 4 février, le département de la Justice a fait appel de la décision mais, seulement quelques heures plus tard, la cour d'appel fédéral l'a rejeté.

Sur injonction de Trump le ministère de la justice se pourvoit en appel de la décision. Le 9 février les trois juges de la Cour d'appel de San Francisco rejettent l'appel du gouvernement et confirment la suspension du décret en expliquant notamment que « le gouvernement n'a pas démontré que le maintien de la suspension du décret se traduirait par de graves atteintes à la sécurité des États-Unis ». Les juges notent également que le gouvernement a été dans l'incapacité de prouver qu'un ressortissant d'un des pays visés par la mesure aurait commis un attentat aux États-Unis dans le passé. Comme lors de l'injonction initiale, Donald Trump réagit violemment sur Twitter et s'en prend aux juges. Quelques jours auparavant le blog Lawfare expliquait que des déclarations de ce genre constituaient « une menace pour la sécurité des juges fédéraux ». Selon CNN peu après leur décision du 9 février les juges ayant pris cette décision auraient reçu un tel nombre de menace qu'il aurait fallu accroître les mesures de sécurité dont ils bénéficient.

Le 16 février 2017 le ministère de la Justice annonce qu'il ne poursuivra pas la procédure en appel. Le même jour, lors d'une conférence de presse, Donald Trump déclare vouloir prendre un nouveau décret qui, selon les avocats du gouvernement « éliminera ce que la cour a estimé, de façon erronée, soulever des questions constitutionnelles » et « permettra une protection immédiate du pays, plutôt que de poursuivre une action en justice potentiellement de longue durée ».

Le 6 mars 2017 Donald Trump signe un nouveau décret sur l'immigration qui contient des aménagements par rapport au décret du 27 janvier. Ainsi, les ressortissants irakiens ne sont plus visés par le décret. De même les détenteurs de cartes vertes et de visa ne sont plus empêchés de se rendre aux États-Unis contrairement à ce qui s'était produit lors de la mise en œuvre du décret initial. Les critiques du nouveau décret considèrent toutefois que celui-ci vise toujours autant les musulmans que la version précédente.

Le 15 mars 2017, quelques heures avant son entrée en vigueur, ce nouveau décret est à son tour bloqué temporairement pas deux juges fédéraux, agissant chacun dans le cadre de procédures distinctes, à Hawaï (juge Derrick Watson) et à Seattle. En réaction, Trump dénonce ce qu'il considère comme une décision « erronée » et affirme que la justice commet « un abus de pouvoir sans précédent », promettant d'aller jusqu'à la Cour suprême. Au Maryland, un troisième juge fédéral rejette partiellement le décret de Trump. Se basant sur des déclarations de campagne de l'intéressé, le juge conclut que le décret comporte « des preuves significatives et irréfutables d'animosité religieuse », et que son objet serait in fine d'instaurer des discriminations contre les musulmans pour des raisons politiques. Le blocage est reconduit le 29 mars 2017 sans limite d'expiration, tant que le décret est contesté en justice.

James Comey

Limogeage du directeur du FBI.

Le 9 mai 2017, Trump provoque l'étonnement du monde politique et médiatique en limogeant avec effet immédiat James Comey, le directeur du FBI, d’une façon qui rappelle le « You’re fired ! » de son émission de TV réalité  The Apprentice. La mesure est fortement critiquée par des élus démocrates et républicains. La raison officiellement invoquée par Trump pour justifier ce limogeage soudain est « la mauvaise gestion par James Comey, au cours de la campagne électorale, du dossier sensible des emails d’Hillary Clinto ». La raison invoquée pour ce limogeage suscite des questions puisque ni l’Attorney général Jeff Sessions ni Trump lui-même n’ont dans le passé mis en doute la façon dont Comey avait avait géré l’investigation du FBI dans l’affaire des e-mails. Au contraire, durant la campagne électorale ou même après ils avaient touts deux largement approuvé le comportement de Come. Alors que cette décision soudaine provoque l'émoi, d'autres informations laissent entendre que le réel motif du limogeage serait l'enquête menée par le FBI sous la direction de Comey sur les liens qu'auraient pu entretenir certains membres de la campagne présidentielle de Trump avec la Russie. Le déroulement de cette enquête aurait rendu Trump furieux. Le sénateur démocrate Edward Markey va jusqu’à évoquer une similitude avec le scandale du Watergate et le massacre du samedi soir. Sur son compte Twitter le Richard Nixon Presidential Library and Museum note que « le président Nixon n’a jamais limogé son directeur du FBI ».

Russie :

Selon un communiqué, Donald Trump s'est accordé avec Vladimir Poutine : « les deux parties ont exprimé leur volonté de travailler ensemble activement pour stabiliser et développer la coopération russo-américaine sur une base constructive, d’égal à égal, et pour le bénéfice mutuel » et pour que « les présidents se sont déclaré en faveur de la mise en place d’une coordination réelle des actions russes et américaines pour détruire l’État islamique et les autres groupements terroristes en Syrie ». Suite à cela, Donald Trump a donné 30 jours à ses responsables militaires pour présenter un plan visant à « vaincre » Daech et à « identifier de nouveaux partenaires pour la coalition ».

Alors que la campagne électorale et les premières déclarations de Donald Trump semblaient indiquer une possible amélioration des relations américano-russes, le départ de Michael T. Flynn et l'importance prise par les généraux Mattis et McMaster qui ne « sont pas pro-russes du tout » laissent supposer une attitude nettement plus agressive vis-à-vis de la Russie.

Mexique.

Le 25 janvier 2017, il signe un décret donnant le coup d'envoi du projet de construction d'un mur le long de la frontière entre les États-Unis et le Mexique, ce qui tend les relations entre les États-Unis et le Mexique, le président mexicain Enrique Peña Nieto annulant sa visite prévue à Washington.

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