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Notre version des faits

L'affaire John Kennedy 5

L’arrivée de Kennedy à Dallas, le 22 novembre 1963

 Le 22 novembre 1963, John Kennedy est arrivé à Dallas en compagnie de sa femme Jackie, de Lyndon Johnson, son vice président et de John Connally le gouverneur du Texas, accompagnés également de leurs femmes. Le gouverneur Connally allait prendre place avec sa femme dans la limousine du président. Johnson allait être dans une voiture juste en arrière de la voiture des services secrets qui allait suivre celle du président.

Le cortège est parti de l’aéroport Love Field en direction du centre-ville de Dallas. Ils étaient attendus au Trade Mart pour un petit déjeuner où le président devait faire une allocution avant de reprendre le chemin de Washington.

À l’aéroport Love Field, lorsque le cortège s’est mis en branle. Les services secrets ont eu ordre de ne pas se tenir à côté de la limousine comme l’exigeait le protocole de la protection du président. On le voit très bien sur cette vidéo lorsqu’un agent qui se tient à côté de la voiture présidentielle se fait dire d’arrêter de marcher à côté de la voiture. L'homme a l’air fâché de la décision de son supérieur. Comme quoi, tous les agents en présence ne devaient pas être au courant de ce qui allait se passer une demi-heure plus tard.

Comment pouvait-on laisser le président sans protection dans un endroit comme le Texas, où il n’était pas le plus aimé? Les services secrets auraient dû vérifier toutes les fenêtres, tous les édifices sur le trajet prévu, pour s’assurer qu’il n’y avait pas de tireurs. Il y aurait dû avoir un toit transparent sur la voiture, et ce, même si le président n’en voulait pas. De nos jours, les présidents ne se promènent plus dans des limousines sans toits, depuis l’assassinat de Kennedy.

Le cortège a traversé la ville sans encombre. Les gens étaient très contents de voir le président. Celui-ci a fait arrêter la limousine plusieurs fois pour parler avec des gens et pour signer des autographes. La réaction du public envers le président était très enthousiaste. Le cortège est finalement arrivé sur Main street. En arrivant au coin de Houston street, ils ont tourné à droite. Ils avaient cette vue en face d’eux. Le Texas School book depository où le supposé tireur Lee Harvey Oswald se serait trouvé au sixième étage.

Ma première observation ici est reliée au fait que si Oswald ou peu importe le tireur, aurait été au sixième étage de cet édifice, pourquoi n’a-t-il pas tiré le président de face, au lieu d’attendre qu’il soit dos à lui? En tournant sur cette rue, c’était le tir le plus facile pour abattre le président. Je trouve que ce fait prouve que le président devait se trouver au bon endroit prévu pour un tir croisé.

Le cortège, en arrivant près de l’immeuble, devait tourner à gauche sur Elm Street pour passer en dessous du viaduc pour ainsi arriver à l’autoroute Stemmons. Voici la vue qu’avait le tireur de la fenêtre du sixième étage.

 En tournant le coin sur Elm Street, un coup de feu a retenti, mais personne n’a été touché dans le cortège. Kennedy a cessé de saluer la foule. Il a sûrement entendu le bruit des coups de feu. Abraham Zapruder, un chef d’entreprise de Dallas se tenait sur un bloc de béton sur le grassy knoll et s’apprêtait à essayer sa nouvelle caméra super 8. Il a filmé l’assassinat.

Si l’on se fie au film de Zapruder, le président n’a pas été touché avant qu’il ressorte de derrière le panneau de signalisation. On le voit porter ses deux mains à sa gorge en ressortant de derrière le panneau. On perçoit qu’il est en extrême douleur. Ses joues sont gonflées et il semble regarder sa femme, sans pouvoir respirer.

Après le tir fatal, Jackie Kennedy s’est retournée vers l’arrière et a monté sur la valise du véhicule. Les gens ont pensé qu’elle avait eu peur et qu’elle voulait sortir du véhicule, mais en réalité, elle est allée récupérer un  morceau du crâne de son mari. Elle l’a tenu dans ses mains et l’a remis à un docteur à Parkland. Sur la photo, on voit très bien qu’elle s’appuie sur son bras gauche pour récupérer quelque chose sur la valise de la limousine.

Si Oswald était le seul tireur, comment se fait-il qu’en tirant trois coups de feu rapidement, comme l’a spécifié la commission Warren, la dernière balle ait fait exploser la tête du président de cette façon? Pour faire des dégâts de la sorte, il aurait fallu avoir des balles explosives. Pourquoi les autres balles n’étaient-elles pas explosives, si la dernière l’était? Le premier tir aurait été tiré, juste avant que le président passe devant la pancarte. Kennedy  a arrêté de saluer la foule quand il a entendu le tir qui l’a  raté. Après que la voiture soit passée devant le panneau, nous remarquons que le président est touché au cou. Il porte ses mains à sa gorge. D’autres balles auraient blessé le gouverneur Connaly à l’aisselle, au poignet et à la cuisse. Ensuite, il y a eu la balle à la tête du président. Déjà on est rendu à plus de 5 balles tirées. La commission Warren a tout fait pour dire qu’il n’y avait eu que trois coups de feu.

D’après la version officielle, cette fameuse balle magique, une théorie ridicule d’Arlen Specter, l’avocat de la Commission Warren, aurait atteint Kennedy et Connaly dans un premier tir. Connally a toujours dit que  le premier tir ne l’avait pas atteint, donc, l’histoire de la balle unique aurait dû être écartée.

La Commission Warren, par l’entremise de cet avocat, tenait tellement à démontrer qu’Oswald était le seul tireur, que le rapport final repose sur cette stupide théorie. Cette balle intacte, retrouvée sur la civière de Connally à l’hôpital, aurait également traversé la gorge de Kennedy en venant de l’arrière. En plus, cette balle était intacte.

Exibit 399 à la Commission Warren

Elle aurait attendu une seconde dans les airs entre Kennedy et Connaly. Elle aurait tourné à 180 degrés. Elle serait entrée sous l’aisselle droite de Connaly en traversant son mamelon de bord en bord. La balle aurait continué sa trajectoire en le blessant à son poignet et sa cuisse gauche. C’est la théorie définitive acceptée par la Commission Warren. Tout le rapport sur la balle unique est le fondement du résultat de la Commission Warren. Oswald a été l’unique tireur.

Cette théorie ridicule a été mal acceptée par la population. D’après les différents livres que je l’ai lu, sur Dealey Plaza, il devait y avoir au moins une dizaine de tireurs qui visaient le président. Sûr qu’il y avait une équipe de tireurs professionnels. Plusieurs ont touché leurs cibles et d’autres non. James Tague, qui était arrêté en dessous du viaduc à cause de la congestion, était sorti de son véhicule pour voir le cortège du président et il a été blessé à la joue par un fragment d’asphalte. Une balle perdue aurait frappé le trottoir près de lui et un morceau d’asphalte l’aurait blessé.

Les silencieux devaient bien exister en 1963? Zapruder a entendu le coup de feu fatal venir de derrière lui. Le Texas School book depository était à sa gauche. Même la famille , qui était à quelques pieds du président, était sûre que les tirs venaient de derrière eux et non de l’édifice. Bill et sa femme se sont jetés par terre en protégeant leurs enfants

Sur place, il y avait pourtant deux personnages vraiment bizarres qui regardaient passer le cortège. On peut les voir sur le film de Zapruder. Quand la voiture ressort de panneau, on voit un parapluie ouvert et un homme à côté de lui qui lève le bras. Pourquoi quelqu’un aurait-il eu un parapluie s’il ne pleuvait pas? Une fois les coups de feu terminés, les deux hommes se sont assis par terre, malgré la panique générale. Était-ce les marqueurs qui ont donné le signal de l’assassinat?

Aussitôt que les coups de feu ont été tirés, la première réaction de la foule a été de courir en direction du Grassy Knoll. Plusieurs témoins ont vu de la fumée, venant de la palissade herbeuse. L’homme au parapluie et l’homme avec le manteau blanc se sont assis par terre en attendant que la foule se calme. On dirait que l’homme au manteau blanc a une radio sous son manteau. Plusieurs l’ont vu l’utiliser peu après les coups de feu.

 Plusieurs témoins ont vu des gens tirés de cette butte herbeuse. Les gens qui étaient à gauche du Président en face de lui ont pris des photos qui ont été réquisitionnées par les services secrets et les policiers de Dallas. Il y a également des témoins qui ont vu deux personnes à la fenêtre du dépôt de livres avec des fusils. Ils ont pensé que c’était des agents des services secrets. Personne ne savait que le président se ferait tuer.  

La plupart des témoins qui ont vu des gens avec des fusils sur le Grassy Knoll n’ont pas témoigné à la commission Warren. Plusieurs d’entre eux sont tous morts de façon mystérieuse, pas très longtemps  après la tragédie.

Prenons le cas de Lee Bower qui travaillait pour la compagnie ferroviaire en arrière du Grassy Knoll. Une heure avant la tragédie, il a vu des véhicules avec des hommes suspects qui parlaient dans des walkies-talkies. Il a pensé que ça devait être des agents des services secrets, mais leurs véhicules étaient ordinaires. Les plaques d’immatriculation laissaient penser à Bower qu’elles étaient sales, comme s’ils avaient roulé dans la boue. Il  a vu des hommes avec l’uniforme de police de Dallas s’installer derrière la palissade en bois qui surplombait le grassy Knoll. Or, il a su plus tard, qu’ il n’y avait pas de policiers à ces endroits lors du meurtre, puisqu’ils étaient tous avec ou autour du cortège présidentiel.

Au moment de l’assassinat, Bower a vu une une boucane de fusil rejaillir au travers les arbres où se trouvaient les hommes habillés en policiers. Il les a vu partir en direction des wagons de train pour s’y cacher. Bowers a ordonné au chef du  train de ne pas partir puisque des hommes s’y étaient réfugiés. Il a été parlé à la police pour leur dire que des gens s’étaient cachés dans les wagons et qu’ils étaient sûrement les assassins du  président. Les policiers ont escorté ces hommes et plus personne n’a entendu parler d’eux. Les policiers ont dit que c’étaient des itinérants. Mais ces hommes n’ont pas l’air de l’être.

Quelques mois plus tard, Lee Bower a été retrouvé mort dans son véhicule accidenté. Il n’y avait aucun autre véhicule d’impliquer dans l’accident. Il était seul.

Plusieurs autres témoins qui se tenaient proches de la route où passait le cortège du président ont vu sa tête explosée. Tous étaient d’accord pour dire qu’au moins un coup de feu (le coup mortel à la tête) venait du côté droit vers le Grassy knoll et non du dépôt de livres. Mais les policiers n’ont pas retenu ces témoignages. Encore moins la Commission Warren.

Jean Hill et Mary Moorman se trouvaient à la gauche de la voiture. Sur le film, nous pouvons voir les deux dames l’une avec un manteau rouge et l’autre avec un manteau foncé. Cette dernière a pris une photo du moment où le président se fait exploser la tête. Jean Hill (manteau rouge) a vu un éclair en face d’elle sur le grassy knoll. Elle a vu courir un homme vers le dépôt de livre. Juste après les tirs sur le président, des agents des services secrets lui on prit son film. Le problème, c’est qu’il n’y avait aucun agent des services secrets sur la place Dealey Plaza puisqu’ils étaient tous avec le cortège du président. Voici la vidéo d’une interview avec Jean Hill en anglais.

Une fois que le Président a été assassiné, le conducteur s’est empressé de l’amener au Parkland Hospital à 5 minutes du Dealey Plaza.

En arrivant à l’hôpital Parkland, Jackie ne voulait pas que les gens sortent le président de l’automobile et puissent l’amener à l’intérieur en laissant à découvert la blessure à la tête. Elle était en état de choc. L’agent Clint Hill qui était monté dans l’auto en courant après les coups de feu pour protéger Madame Kennedy et le président a enlevé son manteau pour le mettre sur la tête du blessé. Jackie a finalement accepté qu’ils amènent son mari à l’intérieur.

Les docteurs ont pris les deux blessés en charge. Le président était le plus mal en point. Ils ont essayé de lui sauver la vie même si ses blessures à la tête étaient irréversibles. Tous ont remarqué qu’il y avait un trou à l’arrière de la tête pendant que le cerveau suintait sur la table. Donc, il était évident que le tir fatal était venu de devant.Il y avait également une blessure en dessous de  la pomme d’Adam. Un trou minuscule qui laissait croire à une balle d’entrée. Un projectile qui entre dans la gorge, laisse un petit trou en entrant et une grande ouverture à l’arrière

Les docteurs ont élargi la blessure à la gorge pour lui faire une trachéotomie même s’il était évident que les blessures à la tête étaient trop graves pour qu’il survive.

Tous les docteurs ont dit la même chose. La blessure principale était à l’arrière de la tête. Une balle est entrée au-dessus de l’œil droit pour ressortir à l’arrière de la tête. Donc, le tir venait de devant. 

Tous les médecins étaient unanimes. Kennedy avait été touché de devant. Une blessure de la taille d’une balle de baseball avait ouvert son crâne à l’arrière de la tête dans la région occipitale. La balle fatale était entrée au-dessus de l’œil droit de Kennedy pour ressortir à l’arrière. En soulevant le corps du président, ils ont remarqué qu’il y avait deux blessures dans le dos entre les omoplates et la tête. Apparemment, ces balles n’avaient pas traversé le corps du président.

Une fois la mort du président annoncée, les services secrets ont décidé de rapatrier le corps du président à Washington pour qu’il puisse subir une autopsie à Bethesda, un hôpital militaire reconnu. Mais le problème c’est qu’une loi texane obligeait cette même autopsie à se faire sur les lieux où le crime avait été commis. Les services secrets ne voulaient rien entendre. Plusieurs témoins ont vu les services secrets mettre le corps du président dans ce genre de cercueil d’aluminium pour finalement l’amener de force vers Air force One.

Pendant ce temps, les services secrets ont lavé la limousine de fond en comble, effaçant toutes les preuves. Était-ce de l’amateurisme ou un moyen d’effacer toutes les preuves? Il y avait même des trous de balle dans le pare-brise de la limousine.

Il ne faut pas oublier qu’avec la mort de Kennedy, Johnson devenait automatiquement le président des États-Unis, puisqu’il était le vice-président de l’administration Kennedy. Une fois que l’acte de décès de Kennedy a été signé, Johnson est retourné à l’avion présidentiel et a attendu Madame Kennedy. Ils ont attendu le président décédé qui est arrivé vers 2  heures avec madame Kennedy. Ils ont dû briser les poignées du cercueil pour qu’ils puissent entrer dans l’avion. Remarquer le cercueil qui est monté dans l’avion n’est pas le même qui est parti de Parkland. Les services secrets auraient-ils mis le président dans un autre cercueil entre Parkland et l’aéroport? Si oui, pour quelles raisons?

Pendant l’attente du cercueil de Kennedy, Johnson a décidé qu’il voulait être assermenté comme Président avant de quitter pour Washington. Il a fait venir une amie juge de Dallas. Le plus bizarre, c’est qu’il n’avait pas besoin d’être assermenté aussi rapidement ou du moins pas dans l’avion à Dallas. Quand le corps du président et son épouse sont arrivés dans Air force One, Johnson a exigé que Jackie soit présente. Madame Kennedy était assise près de la tombe de son mari. On peut imaginer sa grande peine. Mais elle a accepté d’être présente à la prestation de serment de Johnson. Tout le monde était là et le corps du président est resté seul à l’arrière de l’avion.

    

 Première question : Pourquoi Johnson voulait-il être assermenté dans l’avion puisqu’il était le président désigné automatiquement avec la mort de Kennedy? Il n’avait pas besoin d’être assermenté. N’était-ce qu’une diversion pour s’assurer que des agents puissent déplacer le corps du président pour le mettre dans un autre cercueil, celui en aluminium? Il paraît que le cercueil qu’ils ont embarqué était très pesant même sans personne dedans. Était-ce pour mystifier les porteurs pour ne pas qu’ils s’aperçoivent que le cercueil était vide? Si Johnson n’était pas impliqué dans le meurtre du président Kennedy, pourquoi ce clin d’œil d’Albert Thomas en direction de Johnson après son assermentation?

 

L’avion est parti de Dallas pour se rendre à la piste Andrew près de Washington. Le faux cercueil très lourd a été mis dans une ambulance devant les caméras du monde entier. Jackie et le frère du Président Robert Kennedy ont pris place dans le véhicule en direction de Bethesda. Le nouveau président Johnson a fait une brève allocution. On entend le bruit d’un hélicoptère de l’autre côté de l’avion présidentiel. Est-ce qu’ils auraient mis le véritable corps de président dans cet engin pour l’amener à Bethesda avant que le cercueil vide arrive avec la famille? Plusieurs témoins à Bethesda ont dit que le corps du président était dans un cercueil en aluminium à son arrivée. Le corps du président aurait été amené par hélicoptère avant que n’arrive l’ambulance où était supposément le président. Il serait arrivé par hélicoptère vers 18 : 45h à Bethesda et l’autopsie était prévue à 20 heures

Cette affaire a été découverte par Douglas Horn qui était à la tête d’une autre commission d’enquête appelée : « Assassination record review board » institué par Bill Clinton en 1992. Horne a découvert qu’il y avait eu un « Cover-up  » médical, lors de l’autopsie parce que les blessures à la tête du président, n’étaient pas les mêmes que celles que les médecins à Parkland avaient remarquées. 

Les conspirateurs auraient modifié les blessures du Président, surtout à la tête pour laisser croire que le coup de feu qui l’avait atteint venait de l’arrière où se trouvait le tireur. Le but était d’incriminer Oswald pour laisser croire qu’il était un tireur isolé. Qui était impliqué dans cet assassinat? À qui ce meurtre bénéficiait-il? Johnson était-il dans le coup? A-t-il retardé le départ d’Air force One pour laisser le temps aux gens de mettre le corps du Président dans un autre cercueil?

Quand l’autopsie a commencé vers 20h, Il y avait beaucoup de monde dans la salle, autant des généraux de l’armée, des politiciens, des photographes. L’amiral Buckley, le coroner désigné par l’entourage du Président, était responsable de l’autopsie. Cet homme a mis le feu à toutes ses notes. Toutes les photos officielles de l’autopsie ont disparu. Il n’est resté que quelques photos douteuses de l’autopsie du président. Sa tête  ne présentait pas les mêmes blessures qu’avaient vues les médecins de Parkland à Dallas, le dessus de la tête était arraché et il n’y avait pas de trous en arrière de la tête, comme s’ils avaient recollé le crâne pour le temps de prendre la photo. N’oubliez pas que Jackie avait récupéré des morceaux de son crâne, qu’elle avait remis à un médecin de Dallas.

Quand les médecins de Parkland ont vu les résultats et les quelques photos  de l’autopsie, ils n’en croyaient pas leurs yeux. Ce n’était pas ce qu’ils avaient vu quand le président était arrivé à l’hôpital à Dallas. Tous les médecins de Parkland sans exception ont vu une blessure à l’arrière de la tête. L’autopsie de Bethesda montrait que le haut du crâne était arraché et que l’arrière de la tête était intact. Quand les médecins de Bethesda ont voulu ausculter la blessure dans le dos du président, un Général qui semblait être le patron de cette autopsie a demandé aux médecins de ne pas ausculter cette blessure. Il prétextait que la famille voulait en terminer le plus vite possible. Tous les photographes qui étaient présents à l’autopsie ont dit que les résultats officiels n’étaient pas les mêmes qu’ils avaient vus de leurs yeux. Cette photo montre tous les médecins et infirmières de Parkland à Dallas et où ils ont vu les blessures à la tête du président.

Récapitulons :

  1.  Pendant le défilé, les services secrets ne se tiennent pas à côté de la limousine comme les procédures l’exigent.

  2. En arrivant sur Houston Street, les tireurs du dépôt de livres auraient pu tirer le président de face au lieu d’attendre qu’il soit sur  Elm Street. Dealey Plaza était sûrement l’endroit idéal pour un tir croisé.

  3. Sur le film de Zapruder, on voit la voiture du président émergé de derrière la pancarte. Il est touché à la gorge par un tir du devant. Ensuite le gouverneur Connaly est touché par d’autres tirs. Kennedy reçoit une balle dans le dos qui le fait se pencher par en avant. Un dernier tir, celui-là fatal qui fait exploser la tête du président qui s’effondre violemment en arrière sur sa gauche.

  4. Des témoins ont vu de la boucane au travers les arbres sur le Grassy Knoll juste après le coup de feu fatal. La commission Warren n’en a pas tenu compte.

  5. Des témoins ont vu deux personnes à la fenêtre du Texas School book depository, mais ils pensaient que c’étaient des agents des services secrets. Mais plusieurs témoins ont vu deux personnes et non pas une seule. La commission Warren n’en a pas tenu compte.

  6. Plusieurs témoins très importants qui désignaient d’autres tireurs sur Dealey Plaza ont perdu la vie quelques mois plus tard l’attentat.

  7. En arrivant à l’hôpital, les médecins ont constaté les blessures du président. Deux balles dans le dos, une balle dans la gorge et une balle à la tête. Une énorme blessure à l’arrière de la tête laissant un trou béant où le cerveau suintait sur la table.

  8. Le corps du président est mis dans un cercueil en aluminium. Pourtant en arrivant à l’aéroport, le cercueil du président n’est pas le même. Pourquoi? Y a-t-il eu substitution de cercueil?

  9. Les services secrets veulent amener le président à Washington. Ils vont à l’encontre de  la loi du Texas qui demande à ce qu’une autopsie soit pratiquée sur le corps d’une personne assassinée dans cet état. Les services secrets menacent le coroner qui leur bloque le chemin en leur expliquant la situation. Pourquoi cette agressivité? Pourquoi ce besoin urgent de retourner à Washington? Parce que c’était le plan établi?

  10. Johnson attend le corps du président dans Air force One et demande à une juge de venir à bord pour l’assermenter une fois que la veuve de Kennedy sera arrivée. Le cercueil qui arrive à l’aéroport n’est pas le même où le corps a été déposé à Parkland. C’est un cercueil très lourd. Personne n’aurait fait de différence si le cercueil avait été vide. Le nouveau Président fait venir tout le monde pour son assermentation en avant de l’avion, laissant le cercueil du président seul à l’arrière. Est-ce que le corps a été changé de place ?

  11. En arrivant à Washington, les médias voient Jackie et Robert Kennedy sortir de l’avion avec le cercueil du Président. On embarque le corps dans une ambulance. Jackie et Robert embarquent dedans. Ils partent en direction de Bethesda. Pendant ce temps, un hélicoptère embarque le corps de président en arrière de l’avion et l’amène à Bethesda où les blessures du président sont altérées avant l’autopsie officielle.

  12. Les médecins de Bethesda et ceux qui reçoivent le corps ne voient pas les mêmes blessures que les médecins de Parkland.

  13. La commission Warren ne tient pas compte de certains témoignages qui seraient allés à l’encontre du seul tireur Oswald.

Oswald

Lee Harvey Oswald a-t-il tiré sur le président Kennedy? Je ne pense pas. Je ne dis pas qu’il n’a pas été impliqué dans le meurtre. Je crois que cet homme a été le bouc émissaire de toute cette affaire. Oswald aurait travaillé pour le service des renseignements des États-Unis à la fin des années 50. En 1959, il est allé vivre en URSS en disant qu’il voulait devenir un bon communiste. Ça ressemble à une mission d’infiltration. À l’époque, c’était la guerre froide entre l’Union soviétique et les États-Unis. Plusieurs personnes pensent qu’Oswald aurait été un agent se faisant passer pour un transfuge américain disant être communiste. Il aurait demandé la citoyenneté russe. Il était un spécialiste des radars. En URSS, Oswald a rencontré sa future femme Marina. Il est resté deux ans en URSS. Quand il est revenu, il a amené sa femme avec lui. Il n’a eu aucun problème à revenir au pays. N’oubliez pas qu’en 1961, les communistes étaient les ennemis jurés des Américains. Comment un homme qui s’était vanté d’être Marxiste Léniniste, aurait-il pu revenir au pays sans que les autorités s’assurent qu’il n’était pas un communiste à la solde du Kremlin? Connaissant la haine des autorités américaines contre les communistes, ils n’auraient jamais laissé entrer un sympathisant communiste aussi facilement au pays. C’est peut-être la preuve qu’Oswald n’était qu’un agent qui revenait au pays.

 

Je suis convaincu qu’Oswald devait savoir que le président se ferait tuerle 22 novembre. Il avait trouvé cet emploi au dépôt de livre quelques mois plus tôt. Je pense que la CIA l’a impliqué dans cet attentat, mais que plus les choses se déroulaient en ce 22 novembre 63, plus il s’est aperçu qu’il serait le bouc émissaire du meurtre du président. D’après toutes les théories que j’ai étudiées, je pense qu’Oswald a laissé entrer les tireurs dans l’édifice, mais qu’il n’a contribué à l’assassinat que par sa complicité. Ses résultats comme tireur dans l’Armée étaient trop mauvais pour qu’il ait été le seul tireur dans cette histoire.

 

Une demi-heure après l’assassinat, les policiers ont découvert un fusil dans le dépôt de livres. L’officier Roger Craig était présent. Il a certifié que le fusil trouvé était un Mauser 7.5. Voici la vidéo en anglais où il parle de cette découverte.

Pourtant la version officielle dit que le fusil qui a été retrouvé était un mannlicher Carcano, un vieux fusil qu’Oswald avait acheté quelques semaines avant le meurtre. La commission Warren n’a pas tenu compte de ce fait.

 

Oswald aurait quitté le dépôt de livre et ce serait rendu à sa maison à quelques kilomètres de là. En arrivant chez lui, il aurait changé de vêtements. Une voiture de police aurait klaxonné. La gardienne de sa fille aurait témoigné de ce fait. L’auto de police serait repartie. Oswald serait ensuite parti à pied. Des témoins ont dit qu’il aurait tué un policier du nom de J.D Tippit.

Oswald aurait continué son chemin pour se retrouver devant un théâtre. Il serait entré à l’intérieur sans payer. Un commerçant l’aurait vu faire et aurait alerté la police. Ceux-ci seraient arrivés en grand nombre pour l’arrêter.

Oswald était à l’intérieur. Quand les policiers l’ont approché, il a dit : « Tout est fini » et il a sorti son arme, mais les policiers l’ont maîtrisé.

Les policiers l’ont sorti de force du théâtre. Oswald criait en disant qu’il ne résistait pas à son arrestation. Il y avait une immense foule dehors qui conspuait déjà le meurtrier du président Kennedy. Comment se fait-il qu’il y eût tant de policiers pour arrêter un seul homme? Que faisaient tous ces gens au théâtre et pourquoi accusaient-il déjà cet homme du meurtre du président?

 

Les policiers ont amené Oswald au poste de police de Dallas. Il y a été interrogé pendant 12 heures sans qu’il n’y ait aucune transcription écrite de cet interrogatoire. Le Capitaine Fritz, qui l’enquêteur en chef a dit que le jeune homme était très articulé et qu’il n’avait pas l’air d’un déséquilibré. Après l'avoir été détenu pendant 48 heures, la police de Dallas a décidé de transférer le prisonnier dans une prison fédérale. Les journalistes et les médias du monde entier étaient tous là. Oswald est sorti dans le sous-sol où l’attendait un fourgon cellulaire. Il était accompagné de deux agents de la police. Devant les caméras, Jack Ruby s’est avancé devant Oswald et lui a tiré une balle dans le ventre. Oswald est mort à l’hôpital. Le bouc émissaire venait de rendre l’âme. Ils pouvaient tout lui mettre sur le dos.

 

Je pense sincèrement à la lueur de ce que j’ai étudié sur l’affaire Kennedy, qu’Oswald travaillait pour la CIA. Sa mère l’a proclamé après la mort de son fils. Il a été désigné pour faciliter l’entrée des tueurs, en se faisant engager dans l’édifice du dépôt de livres. Le 22 novembre 1963, il a dû ouvrir la porte aux équipes de tueurs qui allaient se placer au sixième étage. Son rôle était peut-être de s’assurer que personne dans l’édifice ne se rend où étaient les tueurs. Une fois, le meurtre commis, il est parti comme il avait sûrement convenu en direction de chez lui.  Le plan était sûrement qu’il devait retourner chez lui. Le policier Tippit qui s’est fait tuer avait peut-être le rôle d’aller porter Oswald à l’aéroport. Lee avait laissé de l’argent à sa femme la veille du meurtre. Il avait sûrement l’intention de s’en aller loin de Dallas un certain temps.

 

L’auto de police qui a klaxonné devant chez lui était peut-être Tippit qui lui faisait signe de se rendre au théâtre. Mais le policier Tippit a été tué non loin de là, parce que les organisateurs du crime avaient sûrement décidé qu’Oswald serait le pigeon de toute cette histoire. Oswald s’est rendu au théâtre comme convenu, mais Tippit n’est pas venu le rejoindre. Soudainement, il a fait face à plusieurs policiers qui l’entouraient et il a sûrement eu peur que les conspirateurs déguisés en policiers lui fassent la peau. Il a sorti son fusil, mais les policiers l’ont maîtrisé. Les policiers l’ont amené au poste sous l’accusation d’avoir tué le policier Tippit. Rapidement, Oswald qui changeait souvent de bureau, a dit aux journalistes qu’il était un bouc émissaire. (I’m just a Patsy)

 Par la suite, Jack Ruby a sûrement été désigné pour tuer Oswald avant qu’il ne parle trop. Ruby a dit qu’il avait fait cela pour éviter un procès à Jackie Kennedy. Mais une fois en prison, il a voulu dire la vérité. Il a demandé aux membres de la commission Warren, qui sont venus le visiter en prison, de l’amener à Washington où il pourrait parler en toute sécurité de ses véritables motifs. Ils n’ont pas adhéré à sa demande. Avec la mort d’Oswald, il était facile de lui faire porter le chapeau dumeurtre de Kennedy et de Tippit. La Commission Warren a tout fait pour incriminer Oswald en le faisant passer pour le seul tueur. Il était plus facile de faire passer la pilule puisque la personne concernée était morte et ne pouvait plus s’opposer. Ainsi les conspirateurs étaient sauvés.

 

Qui a tué Kennedy? Combien d’équipes y avaient –ils sur Dealey Plaza? Oswald a-t-il tiré sur le président? Ce ne sont que des détails qui ne répondent pas aux véritables questions qui sont : pourquoi a-t-on tué le président? Qui en a bénéficié? Quelles étaient les véritables raisons?

 

Je crois que la CIA, le FBI, la Mafia et quelques membres du gouvernement, dont Lyndon Johnson faisaient partie du complot pour assassiner Kennedy. Le président et son frère étaient les ennemis jurés du crime organisé depuis qu’ils avaient été les instigateurs d’une commission d’enquête sur le crime organisé. Il y avait aussi l’histoire du débarquement raté à la baie des cochons. Kennedy n’avait pas appuyé le débarquement à la Baie des cochons et la CIA lui en avait tenu rigueur.

 

Kennedy voulait arrêter la guerre au Vietnam. Tout le monde sait que la guerre est payante pour les pays qui la font. Il voulait démanteler la CIA. Le plus ironique c’est que Kennedy avait congédié Allen Dulles, le directeur de la CIA. Celui-ci était un membre de la Commission Warren. Les motifs pour abattre Kennedy étaient nombreux. Reste que nous ne connaîtrons jamais les auteurs de ce crime puisque ça fait trop longtemps et qu’ils doivent être tous morts. Ce meurtre aura été le début de la fin pour cette Amérique pleine d’espoir avec un président audacieux et juste. Si vous voulez comprendre la pensée de Kennedy, écoutez son dernier discours où il nous mettait en garde pour l’avenir.

Kennedy  est venu à Ottawa en 1961. Voici les images.

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